Pour bien comprendre le netlinking, il faut déjà comprendre le SEO. Ce n’est qu’ensuite que l’on pourra le définir bien précisément et voir comment il fonctionne. Lorsqu’on comprend comment se servir du netlinking, on peut alors s’en servir à bon escient.
Le SEO pour bien comprendre le Netlinking
Afin de pouvoir bien comprendre le fonctionnement du netlinking, il est important de commencer par les bases fondamentales, c’est-à-dire le SEO qui n’est autre que la raison principale de celui-ci. Le SEO (search engine optimisation) est une technique de référencement naturel. On note principalement deux types de référencement, le SEO et le SEA (search engine advertising). Si le premier est un moyen de référencer de façon gratuite son site internet, l’autre est payant (le SEA). Le SEO consiste à utiliser des moyens naturels de rendre son site visible sur les moteurs de recherche. Ainsi, le netlinking compte parmi ces nombreuses stratégies pouvant être utilisées pour bien référencer un site web de manière naturelle.
Qu’est-ce que le netlinking ?
Le netlinking est une technique de SEO. On l’appelle aussi « linking externe » ou encore « link building ». Il s’agit ici d’une stratégie de SEO consistant à obtenir des liens hypertextes, ou « backlinks » qui pointent vers d’autres site web. Le but est ici un objectif sur long terme qui vise en l’amélioration le référencement. Bien entendu, la finalité étant toujours la visibilité sur internet, notamment sur un moteur de recherche.
Comment faire un bon netlinking ?
En matière de SEO, le lien entrant représente toujours la base du référencement naturel. Cependant, tous les backlinks n’ont pas la même valeur. Certains peuvent être utiles pour gagner quelques places, tandis que d’autres n’auront que des effets négatifs. La question est donc de savoir ce qu’est un bon backlink. En effet, l’appréciation peut dépendre du référenceur, mais il y a néanmoins quelques critères à prendre en considération :
– Thématique : le lien entrant doit être issu d’un site ayant une thématique similaire ou connexe à la vôtre. En effet, il serait tout de même bizarre qu’un portail de vente de chaussures pointe vers un site de BTP.
– L’indexation de la page : celle-ci doit être indexée dans les moteurs de recherche, sinon le lien s’y trouvant ne le sera pas non plus. Le pire, c’est qu’en fonction de la raison de cette non-indexation, le backlink pourrait se révéler toxique.
– La position dans la page : il est bon de savoir que les liens qui se trouvent dans le corps d’une page sont plus efficaces, car plus influents que ceux qui se situent dans le footer ou qui servent à la navigation. Tout ceci afin d’éviter le spam et les manipulations. Tout le monde le sait, Google fait la chasse aux liens achetés. Etant donné que ce type de lien se retrouve en footer ou en sidebar, il est logique que google n’accorde que peu de crédit à ce type d’hyperlien.
– Les backlinks qui proviennent de nouveaux sites ont plus d’effets que les nouveaux liens issus de domaines déjà référents. Ainsi, il est préférable d’avoir des liens provenant de 50 noms de domaine différents plutôt que d’en avoir 50 provenant d’un seul et unique site.
– Les mots-clés dans le texte ont plus de poids que ceux qui se trouvent dans les attributs ALT des images liées. Cela dit, il ne faut pas non plus renoncer totalement à ce genre de backlinks.
– Les sites de confiance et populaires sont dotés d’une influence SEO plus forte. Consulter egoprod.fr pour plus d’informations.
